600 pages pour Changer le monde. Militant du «consumérisme vert», l’ouvrage n’hésite pas à promouvoir les marques qui se sont engagées dans des processus vertueux, ou qui tentent des expériences, comme Electrolux dans l’électroménager économe en eau et en énergie, Toyota pour la voiture hybride, les magasins Muji ou les sacs à main Freitag. Côté high-tech, demandez-vous si le téléphone portable ou le baladeur numérique dernier cri a été «écoconçu» : est-il facilement démontable et donc recyclable, quels sont les composants chimiques présents ? Changer le monde consacre aussi un long chapitre aux ordinateurs du futur «propres, écolos, économes et recylcables». Enfin, question fringues, cherchez sur les étiquettes coton bio, tissus en pâte de hêtre, fibre de bambou ou chanvre…
Changer le monde, un guide pour le citoyen du XXIe siècle, coordonné par Alex Steffen, préface d’Al Gore, La Martinière, 600 pp., 39 euros.
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