11 mars 2008
7 mars 2008
Sexe écolo
Choisir un partenaire sensible au développement durable : il limite son empreinte écologique, trie ses déchets, fait son compost, limite sa consommation d’énergie et la production de gaz à effet de serre. Un site internet propose même des rencontres écologiques: Earth Wise Singles.
Faire l’amour de manière écologique : éteindre les lumières (ou si vous voulez voir le corps de votre partenaire faites l’amour de jour), limiter les produits génétiquement modifiés, rechercher des aphrodisiaques à base de plantes ou de fruits plutôt que de consommer huitres et autres fruits de mer, choisir un lieu exempt de pesticides ou d’engrais chimiques, utiliser des sex-toys sans phtalates et des gadgets en caoutchouc ou un vibromasseur solaire, prendre une douche ensemble pour limiter la consommation d’eau, etc.
Ces quelques conseils proposés par Greenpeace sont extraits du guide de la sexualité écologique. Une façon humoristique de conscientiser les consommateurs à l’environnement.
Source : CRIOC
6 mars 2008
5 mars 2008
La femme et le vin
70% des achats en vin sont le fait des femmes. Telle est une des conclusions de l'étude qualitative menée fin 2007 par Delhaize, en collaboration avec BeXpertise, afin d'"explorer les pistes pour rencontrer les attentes des clients en vin", et dévoilée mardi en même temps que sa carte des vins printemps-été 2008. Une conclusion assez logique dans la mesure où ce sont les femmes qui font aussi majoritairement les courses. L'étude ne dévoilant pas dans quelle mesure l'achat des femmes est plus ou moins guidé par les conseils des hommes de leur entourage... Cependant, une fois déterminée la couleur du vin (55 pc de rouge, devant le blanc - plus apprécié au Nord du pays qu'au Sud - et le rosé), hommes et femmes réagissent différemment : la femme sélectionne le vin qui convient au plat envisagé, avant d'examiner le prix et l'étiquette tandis que l'homme réagit en fonction du pays d'origine du vin, de la région et de l'appellation.
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4 mars 2008
Un milliard de boeufs
Quelques chiffres issus de l’étude "Beyond Beef", de l’économiste Jeremy Rifkin (Plume Books, 1993, non traduit) et du dernier livre de Jane Goodall, "Nous sommes ce que nous mangeons" (Acte Sud) : “1,2 milliard de bœufs, vaches, veaux et moutons destinés à l’abattage vivent sur terre : 100 000 bovins sont abattus par jour aux Etats-Unis, 3 000 000 par an en France. Ce véritable continent d’animaux de boucherie, et la monoculture céréalière qui l’accompagne, occupent 25 % des terres cultivées planétaires. Un tiers des céréales mondiales nourrit le bétail que dévorent un demi-milliard d’Occidentaux trop gras.
Lire la suite sur naturavox
1 mars 2008
Primes pour les fumeurs
Paerel Leven, organisme hollandais de retraite complémentaire par capitalisation va octroyer à ses clients fumeurs des intérêts plus élevés qu'aux non fumeurs, partant du principe que leur espérance de vie est plus courte. Ainsi il doit prouver qu'il est un fumeur invétéré et doit avoir fumé les cinq dernières années au moins dix cigarettes quotidiennes, six cigares ou six pipes. Il doit avoir échouer dans une tentative d'arrêter de fumer. Un test d'urine sera effectué pour corroborer les affirmations du candidat souscripteur. Cette initiative, «unique aux Pays-Bas», rapporte l'AFP, fait la joie de la Fondation de défense des intérêts des fumeurs, qui a été à l'origine de cette innovation avec le fonds de pension. «Enfin les fumeurs obtiennent ce à quoi ils ont droit: des primes liées à leur espérance de vie.» La Fondation rappelle également que les fumeurs devaient payer davantage pour une assurance obsèques. «Il est donc logique qu'ils obtiennent des rentes (d'épargne complémentaire pour la pension) plus élevées.» Une véritable injustice...
29 février 2008
Evitez les sucres rapides
Glucides rapides et diabète sont liés. Le Professeur Walter Willett est à l’école de médecine de Harvard (Boston, Massachusetts) le patron de la très médiatisée Nurses’Health Study (« étude des infirmières ») qui explore depuis plus de 15 ans les relations entre mode de vie et santé dans une cohorte de 80 000 femmes américaines.
Nous savons depuis longtemps que les glucides très raffinés font grimper brutalement le taux de glucose dans le sang et provoquent une excrétion d’insuline. Nous avons donc formulé l’hypothèse que les personnes qui consomment trop d’aliments raffinés ont un excès chronique d’insuline qui peut épuiser le pancréas et conduire à un diabète. Nous avons montré que les femmes qui suivent un régime riche en glucides rapides et pauvre en fibres ont un risque de diabète multiplié par 2,5. Chez les hommes, le risque est du même ordre. Par ailleurs le sucre blanc n'est pas particulièrement en cause. Nous avons regardé les aliments qui ont un index glycémique élevé, c’est-à-dire, pour schématiser, ceux qui ont un impact important sur le glucose sanguin. Le sucre blanc est composé pour moitié de glucose, qui a par définition un IG élevé, et pour moitié de fructose, qui a un IG faible. Le sucre blanc a donc un IG moyen. La baguette de pain blanc, les pommes de terre frites, certaines céréales du petit déjeuner ont un index glycémique plus élevé.
28 février 2008
27 février 2008
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